[Je ne veux pas gagner ma vie, je l'ai.]
[Boris Vian]
Image: Lavender Mist de Jackson Pollock
La culture a une moindre importance dans notre société: le divertissement lui a volé sa place.
Non pas qu'elle ait totalement disparue mais elle est enfouie sous un tas d'informations.On nous gave de tout, les maisons d'édition, ils préfèrent la quantité à la qualité et ceci depuis trop longtemps. On nous bourre le crâne d'images spéctaculaires, d'informations qui n'en sont pas. Les faits divers sont en première page et la petite histoire des gens nous envahit.
La litterature n'a qu'à tenter de se faire de la place sous ses gravas, la musique savante n'a d'autre obligation que de rester dans des cercles fermés.
Il fût un temps où lorsque les bon écrivains, les philosophes écrivaient un livre, cela faisait scandale ou triomphe, on arrêtait Sartre pour lui dire ce qu'on pensait de son dernier livre.
Dans une toile d'informations, de desinformations, la culture s'est fait piégée afin de nous abêtir.
Nous museler.
La télévision est le bon partenaire de l'Etat: discipliner le peuple, l'étouffer sous les loisirs, du pain et des jeux.
Ce blog n'a pas de grandes ambitions, aucune illusion juste des interrogations.
Cela nous suffit-il?
Cet article, tout comme le prochain, ont été publié il y a très longtemps sur un blog homonyme qui m'appartenait également. Etant toujours d'actualité et répondant toujours à mes attentes, je le publie de nouveau (avec quelques modifications, mais si minimes!).
[Boris Vian]
Image: Lavender Mist de Jackson Pollock
La culture a une moindre importance dans notre société: le divertissement lui a volé sa place.
Non pas qu'elle ait totalement disparue mais elle est enfouie sous un tas d'informations.On nous gave de tout, les maisons d'édition, ils préfèrent la quantité à la qualité et ceci depuis trop longtemps. On nous bourre le crâne d'images spéctaculaires, d'informations qui n'en sont pas. Les faits divers sont en première page et la petite histoire des gens nous envahit.
La litterature n'a qu'à tenter de se faire de la place sous ses gravas, la musique savante n'a d'autre obligation que de rester dans des cercles fermés.
Il fût un temps où lorsque les bon écrivains, les philosophes écrivaient un livre, cela faisait scandale ou triomphe, on arrêtait Sartre pour lui dire ce qu'on pensait de son dernier livre.
Dans une toile d'informations, de desinformations, la culture s'est fait piégée afin de nous abêtir.
Nous museler.
La télévision est le bon partenaire de l'Etat: discipliner le peuple, l'étouffer sous les loisirs, du pain et des jeux.
Ce blog n'a pas de grandes ambitions, aucune illusion juste des interrogations.
Cela nous suffit-il?
Mal.de.taire
Cet article, tout comme le prochain, ont été publié il y a très longtemps sur un blog homonyme qui m'appartenait également. Etant toujours d'actualité et répondant toujours à mes attentes, je le publie de nouveau (avec quelques modifications, mais si minimes!).